Stratégie sur le cancer / Priorités stratégiques / Priorité 1 Priorité 1 : Réduire le risque de cancer dans la population Jusqu’à quatre cas de cancer sur dix peuvent être évités. Mesure 1 Aider les personnes à arrêter de fumer ou à ne pas commencer en premier lieu, et à vivre une vie plus saine Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Maintenir un poids sain placeholder text Mesure 2 Adopter des pratiques éprouvées qui sont connues pour réduire le risque de cancer Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH Augmenter les tests génétiques placeholder text Aperçu Voir les progrès pour : Territoire de compétence Colombie-Britannique Alberta Saskatchewan Manitoba Ontario Québec Nouveau-Brunswick Nouvelle-Écosse Île-du-Prince-Édouard Terre-Neuve-et-Labrador Territoires du Nord-Ouest Nunavut Yukon Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumerChaque province et chaque territoire a fourni son propre contenu et mesure cet indicateur différemment. En raison de ces différences, les données ne peuvent être comparées entre les territoires de compétence. Veuillez consulter les spécifications techniques pour plus de détails. De plus, des références pour l’information à l’échelle du Canada sont également disponibles. Pourquoi nous nous concentrons sur le tabagisme Le tabagisme cause 45 000 décès au Canada chaque année, dont 16 000 par cancer du poumon1. Arrêter de fumer est la chose la plus importante qu’une personne puisse faire pour réduire son risque de cancer et d’autres maladies chroniques1. Les taux de tabagisme au Canada n’ont cessé de diminuer grâce aux efforts globaux de lutte contre le tabagisme commercial. Actuellement, 15 % de la population (4,7 millions de personnes) fume, ce qui représente le taux le plus bas à ce jour. Le tabagisme est plus fréquent chez les hommes (17,3 % chez les hommes, 12,3 % chez les femmes) et les jeunes adultes2-4. La probabilité qu’une personne fume est liée aux déterminants sociaux de la santé et à d’autres facteurs, notamment à l’influence de l’industrie du tabac. Les personnes qui subissent des inégalités en matière de santé sont susceptibles d’être confrontées à des obstacles à l’abandon du tabac et d’avoir besoin de mesures de soutien supplémentaires. Le tabagisme est plus fréquent chez les personnes ayant un faible niveau d’éducation et de revenu et chez les personnes LGBTQ2S+4. Pour de nombreux membres des Premières Nations et des Métis, le tabac traditionnel ou sacré est utilisé dans le cadre de rituels cérémoniels ou sacrés de guérison et de purification et est très vénéré. Cependant, le tabac commercial (p. ex. les cigarettes) a été introduit après le contact avec les Européens et son usage s’est généralisé : 37 % des membres des Premières Nations vivant hors réserve fument (quotidiennement ou occasionnellement), tout comme 55 % des Inuits et 32 % des Métis5-7. Quatorze pour cent des personnes atteintes d’un cancer fument, un taux similaire à celui de la population générale8. Pour les personnes chez lesquelles un cancer a été diagnostiqué, le fait d’arrêter de fumer peut améliorer l’efficacité du traitement et les chances de survie1. Un soutien à l’abandon du tabagisme est désormais proposé dans 87 % des centres de soins contre le cancer du pays9. Le tabagisme coûte chaque année à l’économie canadienne un total de 16,2 milliards de dollars, dont 6,5 milliards en coûts directs de soins de santé10. Ce que nous voulons réaliser Réduction du taux de tabagisme au Canada à cinq pour cent de la population (ou moins) d’ici 203511, grâce à des stratégies qui : protègent les gens contre l’exposition à la fumée du tabac commercial; avertissent les gens des dangers du tabac commercial (qui peut inclure le tabac à fumer ou à chiquer); interdisent la publicité, la promotion et les commandites du tabac; encouragent les gens à ne pas fumer en augmentant les taxes sur les cigarettes et autres produits du tabac; offrent aux gens une aide pour arrêter de consommer du tabac commercial; assurent l’équité dans l’accès aux mesures de soutien à l’abandon du tabagisme sécurisantes sur le plan culturel pour les Premières Nations, les Inuits et les Métis; s’attaquent aux problèmes de santé mentale sous-jacents des fumeurs. Ce que cela signifierait pour les personnes vivant au Canada Si le Canada atteignait l’objectif national de réduire le pourcentage de la population qui fume à cinq pour cent d’ici 2035, il pourrait y avoir : 31 000 personnes recevant un diagnostic de cancer de poumon en moins12; 20 000 personnes mourant du cancer du poumon en moins12. La réduction et la prévention du tabagisme réduiraient le nombre de futurs cas de cancer, notamment les cancers de la vessie, du sein, du col de l’utérus, colorectal, de l’œsophage, du rein, du foie, du poumon, de l’ovaire, du pancréas, de l’estomac et de l’uretère13. Maintenir un poids sainChaque province et chaque territoire a fourni son propre contenu et mesure cet indicateur différemment. En raison de ces différences, les données ne peuvent être comparées entre les territoires de compétence. Veuillez consulter les spécifications techniques pour plus de détails. De plus, des références pour l’information à l’échelle du Canada sont également disponibles. Pourquoi nous nous concentrons sur l’obésité L’excès de poids corporel est à l’origine de 7,2 % des nouveaux cas de cancer14. D’ici 2042, il sera la deuxième cause évitable de cancer au Canada10. L’excès de poids corporel est associé à un risque accru d’un certain nombre de cancers, notamment le cancer du foie, des reins, de l’œsophage et de l’estomac15. Au Canada, plus d’un adulte sur deux et un jeune sur cinq (âgés de 12 à 17 ans) sont en surpoids/obèses16. L’obésité est un phénomène complexe, et les gens sont souvent victimes de stigmatisation et de messages sociétaux négatifs liés à l’image corporelle. De nombreux facteurs contribuent à l’excès de poids corporel. Par exemple : si les gens n’ont pas accès à une alimentation abordable, nutritive et adaptée à leur culture; si les gens n’ont pas suffisamment de compétences, de connaissances et de temps pour cuisiner; si les quartiers ne sont pas conçus pour favoriser la marche, le cyclisme et d’autres formes d’activité physique; si les gens ne disposent pas de possibilités d’activité physique abordables, pratiques et sécuritaires. Pour les Premières Nations, les Inuits et les Métis, les effets durables du colonialisme ont entraîné des inégalités dans les déterminants sociaux de la santé (p. ex. la sécurité alimentaire, l’accès à des environnements physiques sécuritaires et sains), qui contribuent à leur tour à des taux plus élevés d’obésité17-19. L’endroit où les gens vivent, apprennent, travaillent et se divertissent semble avoir une grande influence sur leur niveau d’activité physique. Au Canada, une personne sur deux reste sédentaire pendant son temps libre (3 à 6 heures) chaque jour, ce qui est lié à un excès de poids corporel20 21. Ce que nous voulons réaliser Donner aux gens les moyens de vivre plus sainement en faisant en sorte que les choix sains soient les plus faciles à faire. Les gouvernements facilitent l’adoption d’un mode de vie sain pour tous les Canadiens grâce à des politiques qui22 : font en sorte que les environnements dans lesquels les enfants vivent, apprennent et jouent soient plus propices à l’activité physique et à une alimentation saine; déterminent le risque d’obésité chez l’enfant et le traitent de manière précoce; augmentent la disponibilité et l’accessibilité des aliments nutritifs et réduisent la commercialisation auprès des enfants des aliments et des boissons riches en graisses, en sucre ou en sodium. Les problèmes de santé mentale sous-jacents qui conduisent à la suralimentation et à l’excès de poids corporel (p. ex. la dépression, les troubles de l’alimentation, l’anxiété et la toxicomanie) sont traités en améliorant l’accès aux services de santé mentale23. Ce que cela signifierait pour les personnes vivant au Canada 110 000 cas de cancer en moins d’ici 204224 si davantage de Canadiens avaient un poids corporel sain Jusqu’à 4 000 cas de cancer en moins d’ici 204221 si les Canadiens réduisaient de 50 % leur comportement sédentaire pendant leur temps libre Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Ontario (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Effectuer un dépistage chez 70 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer afin d’examiner la consommation actuelle de tabac*. Soutenir les personnes atteintes de cancer qui consomment du tabac en faisant en sorte que 28 % d’entre elles acceptent d’être aiguillées vers un soutien à l’abandon du tabagisme*. Protéger la population de l’Ontario, en particulier les enfants et les jeunes, contre les effets nocifs du tabagisme, du vapotage et de la nicotine. * Ces objectifs ont été revus à la baisse afin de soutenir les centres régionaux de cancérologie qui ont ajusté leurs ressources pour répondre à la pandémie de COVID-19. Situation actuelle Le pourcentage de fumeurs quotidiens ou occasionnels était légèrement inférieur en Ontario par rapport à la moyenne canadienne. Le pourcentage de fumeurs était généralement plus élevé chez les personnes ayant un revenu du ménage faible que chez celles ayant un revenu élevé. Le pourcentage de fumeurs était le plus élevé chez les personnes ayant un niveau de scolarité inférieur à l’école secondaire et diminuait chez les personnes ayant un niveau de scolarité plus élevé (comme le secondaire et le postsecondaire). Le pourcentage de fumeurs était plus élevé chez les hommes que chez les femmes, quels que soient le niveau de revenu et le niveau d’éducation. Les centres régionaux de cancérologie proposent un soutien à l’abandon du tabagisme sur place ou dans la communauté aux personnes chez qui un cancer a été diagnostiqué récemment. Les services d’abandon du tabagisme et du vapotage sont fournis par le ministère de la Santé par l’intermédiaire du Centre de toxicomanie et de santé mentale, de la Société canadienne du cancer, de l’Université Lakehead, de l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa et de Santé811. Le tabac, le cannabis, les cigarettes électroniques, le vapotage et les maladies liées au vapotage font l’objet d’une surveillance par le ministère de la Santé afin d’évaluer l’incidence de leur utilisation sur la dépendance. Le gouvernement a pris des mesures urgentes pour s’attaquer au problème du vapotage chez les jeunes. Depuis le 1er janvier 2020, la Loi favorisant un Ontario sans fumée interdit la promotion des produits de vapotage dans les établissements de vente au détail qui ne sont pas des magasins de produits de vapotage spécialisés ou des magasins de vente au détail de cannabis. Les magasins de produits de vapotage spécialisés et les magasins de vente au détail de cannabis ne sont ouverts qu’aux personnes âgées de 19 ans et plus. Depuis juillet 2020 : La vente de produits de vapotage aromatisés (à l’exception des arômes de menthol, de menthe et de tabac) est limitée dans les lieux autres que les magasins de produits de vapotage spécialisés et les magasins de vente au détail de cannabis. La vente de produits à forte teneur en nicotine est limitée dans les lieux autres que les magasins de produits de vapotage spécialisés. Les magasins de produits de vapotage spécialisés doivent s’assurer que l’affichage et la publicité de leurs produits ne sont pas visibles de l’extérieur du magasin. Nouveaux efforts Les programmes d’abandon du tabagisme dans les programmes régionaux de cancérologie ne se limitent plus aux nouveaux patients externes, mais s’adressent à de nouveaux publics et à de nouveaux milieux. Les résultats de l’abandon du tabagisme signalés par les patients seront évalués. Le ministère de la Santé met également en œuvre les mesures non réglementaires suivantes pour s’attaquer au problème du vapotage chez les jeunes : Santé811 offre des services pour aider les gens à cesser de vapoter. S’assurer que les détaillants en ligne ne vendent des produits de vapotage qu’aux personnes de 19 ans et plus. Des services de santé mentale et de lutte contre les dépendances aideront à lutter contre la dépendance au vapotage et à la nicotine. Indicateur : Pourcentage de personnes en Ontario (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Ontario (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif La réduction de l’obésité sera obtenue en encourageant une alimentation saine, l’activité physique et la lutte contre les comportements sédentaires, et par le biais de l’environnement bâti. Situation actuelle Le pourcentage de personnes classées comme en surpoids ou obèses était le même en Ontario et au Canada. Le pourcentage de personnes classées comme obèses ou en surpoids était plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Le pourcentage d’hommes classés comme obèses ou en surpoids était plus élevé chez les hommes ayant un revenu du ménage élevé que chez ceux ayant un revenu faible. Le pourcentage de femmes classées comme obèses ou en surpoids était plus élevé chez les femmes ayant un revenu faible que chez celles ayant un revenu élevé. La Loi sur les aliments locaux encourage la production alimentaire locale et soutient la commercialisation des fruits et légumes locaux. ConnexionSanté Ontario est disponible pour fournir des renseignements sur une alimentation saine. La Loi de 2015 pour des choix santé dans les menus exige que les calories soient indiquées sur des panneaux d’affichage du menu dans les établissements alimentaires réglementés afin de permettre aux gens de prendre des décisions saines. Des normes nutritionnelles ont été fixées pour les aliments et les boissons vendus dans les écoles. Les écoles proposent aux élèves du primaire au moins 20 minutes d’activité physique par jour. Des aliments nutritifs sont proposés aux enfants et aux jeunes d’âge scolaire au cours du déjeuner et du dîner dans le cadre du programme de nutrition des élèves. Les établissements de soins de longue durée sont tenus de fournir des aliments conformes au Guide alimentaire canadien. Nouveaux efforts Le ministère de la Santé a l’intention de tirer parti des leçons apprises et des investissements réalisés pendant la pandémie de COVID-19 pour éclairer les politiques et les programmes de prévention des maladies chroniques. Indicateur : Pourcentage de personnes (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Alberta (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarques : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Travailler à la réalisation de l’objectif de réduction de la consommation de tabac à moins de 5 % de la population d’ici 2035, énoncé dans la Stratégie canadienne sur le tabac. Situation actuelle Alberta Quits (site Web et ligne d’assistance téléphonique [albertaquits.ca]) soutient les personnes qui tentent de réduire ou d’arrêter leur consommation de tabac commercial. Les patients atteints de cancer se voient proposer des aides à l’abandon du tabagisme. La campagne collaborative Keep Tobacco Sacred (garder le tabac sacré) est dirigée par les Premières Nations et définit des approches de prévention et d’abandon du tabagisme commercial sécurisantes sur le plan culturel. La Loi sur le tabac et les produits de vapotage a été adoptée en Alberta. Le groupe QuitCore offre des services de désaccoutumance aux adultes de l’Alberta et propose des aides particulières aux personnes atteintes de cancer, ainsi qu’une approche fondée sur la culture avec la Métis Nation of Alberta. Le programme QuitCore offre aux personnes détenant une carte Croix Bleue une couverture allant jusqu’à 500 $ pour des médicaments tels que la thérapie de remplacement de la nicotine et d’autres aides antitabagiques nécessitant une ordonnance. Nouveaux efforts Des travaux sont en cours pour inclure l’abandon du tabagisme dans le cadre du dépistage systématique du cancer. Le Tobacco, Vaping and Cannabis Program (programme sur le tabac, le vapotage et le cannabis) des Alberta Health Services offre des services de soutien à l’abandon du tabagisme sécurisants sur le plan culturel. Indicateur : Pourcentage de personnes classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Aider les Albertains adultes ne pratiquant pas d’activité physique aérobique, modérée à vigoureuse, la plupart des jours de la semaine (au moins 150 minutes par semaine) à instaurer et à maintenir un mode de vie actif. Les données probantes montrent que la pratique d’une activité physique régulière et la réduction des comportements sédentaires peuvent aider à prévenir les maladies chroniques, y compris l’obésité. Situation actuelle Les Albertains ayant un revenu plus élevé sont plus susceptibles d’avoir un excès de poids que ceux ayant un revenu moins élevé, et les hommes sont plus susceptibles d’avoir un excès de poids que les femmes. Nouveaux efforts À venir. Indicateur : Pourcentage de personnes (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Nouvelle-Écosse (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarques : Cet indicateur a été déclaré à l’aide de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC). Les personnes qui n’ont pas répondu aux questions obligatoires de l’ESCC concernant le tabagisme n’ont pas été incluses dans l’analyse. La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Du point de vue du programme de soins contre le cancer : Alignement sur le Cadre d’action pour l’abandon du tabagisme en lien avec les soins contre le cancer. Des programmes de soutien à l’abandon du tabagisme adaptés à la culture sont accessibles et répondent aux besoins des Premières Nations de la Nouvelle-Écosse. Les aides antitabagiques, comme la pharmacothérapie et la thérapie de remplacement de la nicotine (TRN), sont gratuites et accessibles à tous les résidents de la Nouvelle-Écosse. Le programme de dépistage du cancer du poumon intègre une aide continue à l’abandon du tabagisme fondée sur des données probantes. Situation actuelle Du point de vue du programme de soins contre le cancer : La politique d’abandon du tabagisme du programme de soins contre le cancer de Santé Nouvelle-Écosse intègre le modèle « Demander, conseiller et agir » (Ask, Advise and Act) pour soumettre les patients à un dépistage, les conseiller et les aiguiller vers un soutien à l’abandon du tabagisme fondé sur des données probantes. La pandémie a eu des répercussions sur la mise en œuvre complète de la politique, qui est encore en cours. Un projet d’amélioration de la qualité portant sur l’offre de thérapies de remplacement de la nicotine gratuites a été approuvé et est en cours au Cape Breton Cancer Centre. Smoke-Free Nova Scotia continue de promouvoir activement les politiques de lutte contre le tabagisme. La concentration de nicotine dans les liquides à vapoter est plafonnée à 20 mg/mL. Les produits de cigarettes électroniques aromatisés sont interdits depuis le 1er avril 2020. Les taxes ont été augmentées sur les dispositifs de vapotage et les produits de liquide à vapoter. Nouveaux efforts Du point de vue du programme de soins contre le cancer : Le programme de soins contre le cancer de la Nouvelle-Écosse met actuellement en œuvre la politique sur l’abandon du tabagisme dans les soins contre le cancer. La Nouvelle-Écosse atteindra son objectif (section « Notre objectif ») grâce à une collaboration avec des partenaires clés tels que Smoke-Free Nova Scotia, la stratégie de soins contre le cancer de la nation micmaque, le ministère de la Santé et du Mieux-être, Sans Tabac Nouvelle-Écosse, les soins primaires et le Programme de santé mentale et de traitement des dépendances. Les données de la matrice communautaire du cancer de la Nouvelle-Écosse (Nova Scotia Community Cancer Matrix) permettront de déterminer les possibilités d’interventions ciblées de lutte contre le tabagisme, en veillant à mettre l’accent sur l’équité en santé. Le projet de recherche sur le potentiel de prévention du cancer au Canada atlantique (Cancer Prevention Potential in Atlantic Canada) a reçu un financement et s’appuiera sur la matrice communautaire du cancer de la Nouvelle-Écosse pour fournir des éclaircissements sur les facteurs de risque à l’échelle d’environnements communautaires de chacune des quatre provinces de l’Atlantique. Le dépistage du cancer du poumon dans le cadre du programme de soins contre le cancer de Santé Nouvelle-Écosse sera lancé en 2023. L’aide à l’abandon du tabagisme en est un élément clé. Le programme de soins contre le cancer de Santé Nouvelle-Écosse travaillera pour permettre l’offre durable de thérapies de remplacement de la nicotine pour les patients atteints de cancer, comme le prévoit le Cadre d’action pour l’abandon du tabagisme en lien avec les soins contre le cancer. Les objectifs de réduction du tabagisme sont présentés du point de vue du programme de soins contre le cancer de Santé Nouvelle-Écosse (Nova Scotia Health Cancer Care Program [NSH CCP]). Les initiatives mentionnées dans les sections « Situation actuelle » et « Nouveaux efforts » sont des exemples d’initiatives dont le NSH CCP est au courant et ne constituent pas une liste complète des initiatives mises en œuvre dans la province par d’autres organisations. Indicateur : Pourcentage de personnes en Nouvelle-Écosse (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Nouvelle-Écosse (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarques : Cet indicateur a été déclaré à l’aide de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC). Les personnes qui n’ont pas répondu aux questions obligatoires de l’ESCC pour obtenir les catégories d’IMC n’ont pas été incluses dans l’analyse. La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Du point de vue du programme de soins contre le cancer : Intégrer les programmes d’exercice comme norme de soins pour les personnes atteintes de cancer et les survivants. Situation actuelle Du point de vue du programme de soins contre le cancer : Les aliments malsains sont restreints dans les écoles afin d’encourager une alimentation saine chez les enfants. La Nouvelle-Écosse a une politique qui soutient la commercialisation des fruits et légumes locaux. Soyons actifs en Nouvelle-Écosse est un plan d’action dont l’objectif est que la population soit plus active, plus inclusive et en meilleure santé. L’Alliance de la Nouvelle-Écosse pour les bonnes habitudes alimentaires et l’activité physique (Nova Scotia Alliance for Healthy Eating and Physical Activity) établit des priorités et des plans d’action pour l’avenir. UpLift est un partenariat qui soutient le bien-être des élèves par la promotion de la santé dans les écoles. Des recherches sur l’établissement d’indicateurs de la santé de la population sont en cours par l’intermédiaire du Dalhousie Population Health Institute. La stratégie intitulée « Charting the Course, the Primary Health Care Wellness, Chronic Disease Prevention and Management Strategy » vient d’être finalisée. Cette stratégie intégrée énonce, parmi quatre objectifs, celui de mettre désormais l’accent sur le mieux-être, la gestion des facteurs de risque et la prévention des maladies chroniques pour l’ensemble de la population de la Nouvelle-Écosse. Nouveaux efforts Du point de vue du programme de soins contre le cancer : Le projet de recherche intitulé « Nova Scotia Community Cancer Matrix » (matrice communautaire du cancer de la Nouvelle-Écosse) fournira des données sur les possibilités d’interventions communautaires ciblées qui mettent l’accent sur l’équité en santé. Le projet de recherche intitulé « Cancer Prevention Potential in Atlantic Canada » (potentiel de prévention du cancer au Canada atlantique) mesurera le lien entre le profil socio-économique d’une communauté et le risque de cancer, ainsi que la prévalence de facteurs de risque modifiables du cancer dans diverses communautés du Canada atlantique, dont 300 de la Nouvelle-Écosse. Des travaux sont en cours pour aligner les programmes ACCESS/EXCEL et Soyons actifs afin d’améliorer l’accès aux soins des Néo-Écossais vivant avec un cancer. Les objectifs de réduction de l’obésité sont présentés du point de vue du programme de soins contre le cancer de Santé Nouvelle-Écosse (Nova Scotia Health Cancer Care Program [NSH CCP]). Les initiatives mentionnées dans les sections « Situation actuelle » et « Nouveaux efforts » sont des exemples d’initiatives dont le NSH CCP est au courant et ne constituent pas une liste complète des initiatives mises en œuvre dans la province par d’autres organisations. Indicateur : Pourcentage de personnes en Nouvelle-Écosse (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes au Nouveau-Brunswick (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif La vision de la Stratégie favorisant la vie sans tabac au Nouveau-Brunswick 2019-2023 est une province sans tabac et sans fumée. Renforcer les efforts de lutte contre le tabagisme au Nouveau-Brunswick, en augmentant le nombre de personnes qui arrêtent de fumer. Situation actuelle Le Réseau de santé Horizon renforce les programmes d’abandon du tabagisme dans les centres de cancérologie ambulatoires en améliorant l’accessibilité et la prestation d’un soutien clinique fondé sur des données probantes en matière d’abandon du tabagisme pour les patients atteints de cancer. Les régies régionales de la santé (Réseau de santé Vitalité et Réseau de santé Horizon) continuent de faciliter et de renforcer la mise en œuvre du modèle d’Ottawa pour l’abandon du tabac. Le pourcentage de jeunes qui déclarent fumer quotidiennement ou occasionnellement continue de baisser, mais le pourcentage de jeunes qui sont susceptibles d’essayer la cigarette est en hausse. Le vapotage de la nicotine a augmenté chez les non-fumeurs, les jeunes et les jeunes adultes. Des études ont montré que les jeunes qui vapotent sont quatre fois plus susceptibles de commencer à fumer des cigarettes. Le tabagisme est le principal facteur de risque de cancer du poumon et la première cause de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Le tabagisme est lié à douze types de cancer différents et constitue le seul facteur de risque commun aux quatre principales maladies non transmissibles. La Stratégie favorisant la vie sans tabac au Nouveau-Brunswick (nbatc.ca) a été élaborée pour soutenir et améliorer les efforts de lutte contre le tabagisme dans la province. L’un des objectifs est d’augmenter le nombre de personnes qui abandonnent le tabagisme. La Stratégie favorisant la vie sans tabac au Nouveau-Brunswick harmonise ses efforts avec la Stratégie canadienne sur le tabac et y contribue. Nouveaux efforts Afin d’accroître la conformité, les magasins de produits de vapotage doivent détenir un permis d’exploitation depuis le 1er avril 2022. La vente de tous produits de vapotage aromatisés est interdite depuis le 1er septembre 2021, afin de réduire leur attrait pour les jeunes. Le service téléphonique de soutien à l’abandon du tabagisme du Nouveau-Brunswick offrira un accès plus facile grâce au clavardage, à la messagerie texte et à un site Web amélioré. Indicateur : Pourcentage de personnes au Nouveau-Brunswick (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes au Nouveau-Brunswick (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarques : En 2019, 74,5 % des Néo-Brunswickois de 18 ans et plus étaient classés comme en surpoids ou obèses, l’un des taux les plus élevés au Canada. La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Améliorer la santé et le bien-être de la population en promouvant des poids sains et en réduisant l’obésité. Situation actuelle La Stratégie du mieux-être du Nouveau-Brunswick fournit un cadre complet pour agir sur les déterminants de la santé et promouvoir le mieux-être au Nouveau-Brunswick. Les taux d’obésité au Nouveau-Brunswick sont parmi les plus élevés du Canada. Le soutien social, le revenu, l’éducation et les expériences vécues au début de la vie sont quelques-uns des déterminants qui influencent la santé de la population. Nouveaux efforts Des travaux sont en cours pour examiner et renouveler la Stratégie du mieux-être du Nouveau-Brunswick et le programme Familles en santé, bébés en santé. Le Nouveau-Brunswick travaille à la mise en œuvre des pratiques exemplaires de l’Initiative des amis des bébés. Des efforts sont déployés pour établir des partenariats avec d’autres ministères du gouvernement du Nouveau-Brunswick afin de promouvoir des politiques et des programmes d’alimentation saine. Indicateur : Pourcentage de personnes au Nouveau-Brunswick (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes à Terre-Neuve-et-Labrador (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif La province de Terre-Neuve-et-Labrador travaille à la réalisation de l’objectif de réduction de la consommation de tabac à moins de 5 % de la population d’ici 2035, énoncé dans la Stratégie canadienne sur le tabac. Situation actuelle Les services d’abandon du tabagisme du programme provincial de soins contre le cancer offrent aux personnes atteintes d’un cancer un soutien pour arrêter de fumer. Cela se fait par l’intermédiaire d’un soutien clinique, d’un soutien comportemental grâce à la ligne provinciale d’aide téléphonique pour les fumeurs et de la fourniture d’une pharmacothérapie telle que les timbres et les médicaments de thérapie de remplacement de la nicotine (TRN). La ligne d’aide téléphonique aux fumeurs de Terre-Neuve-et-Labrador offre un soutien par Internet, par texte, par courriel ou par téléphone et fournit des renseignements sur les autres ressources disponibles. Les pharmaciens peuvent rédiger des ordonnances pour les thérapies de remplacement de la nicotine. Tous les patients externes atteints de cancer se voient proposer une aide pour arrêter de fumer, notamment des conseils en matière de sevrage tabagique et des médicaments gratuits pour arrêter de fumer. Terre-Neuve examine les politiques utilisées par d’autres provinces pour lutter contre le tabagisme chez les jeunes par l’éducation. Les patients atteints de cancer se voient proposer un counseling sur l’abandon du tabagisme par téléphone et l’envoi par courrier de médicaments pour arrêter de fumer. Cette accessibilité a permis d’accroître l’adhésion au programme. Nouveaux efforts En janvier 2021, la Newfoundland and Labrador Alliance for the Control of Tobacco (alliance pour la lutte contre le tabagisme de Terre-Neuve-et-Labrador) a publié une stratégie de réduction du tabagisme et du vapotage qui fournit une orientation concernant l’élaboration et la mise en œuvre de mesures de lutte contre le tabagisme et le vapotage. Indicateur : Pourcentage de personnes à Terre-Neuve-et-Labrador (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes à Terre-Neuve-et-Labrador (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Le Health Accord for Newfoundland and Labrador (accord sur la santé pour Terre-Neuve-et-Labrador) est en cours d’élaboration et abordera la santé physique des résidents au moyen d’une approche holistique. Situation actuelle La régie de la santé de l’Ouest a récemment mis en œuvre un projet pilote visant à introduire des aliments cultivés localement dans la nourriture servie à l’hôpital de Corner Brook. Afin d’encourager une alimentation saine chez les enfants, Terre-Neuve exige des choix d’aliments sains dans les garderies, fournit des directives pour des aliments sains dans les écoles et utilise le cadre « aliments à servir le moins souvent, aliments à servir parfois, aliments à servir le plus souvent » pour améliorer les choix alimentaires dans les écoles. Le programme de soins contre le cancer propose des services de nutrition, dans le cadre desquels un diététiste agréé peut donner aux patients des conseils et un soutien. Nouveaux efforts Dial-a-Dietitian est un service gratuit et confidentiel qui met les appelants en relation avec un diététiste agréé afin d’obtenir des conseils en matière de nutrition. Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador a récemment introduit une trousse sur l’activité physique pour les fournisseurs de soins de santé. La trousse comprend des ressources, des outils et des renseignements pour aider les fournisseurs de soins de santé et le personnel administratif en première ligne à augmenter l’activité physique, à réduire les comportements sédentaires et à améliorer les habitudes de sommeil chez les clients de 18 ans et plus afin d’améliorer la santé physique, mentale et émotionnelle en général. Indicateur : Pourcentage de personnes à Terre-Neuve-et-Labrador (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes à l’Île-du-Prince-Édouard (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif L’Île-du-Prince-Édouard travaille à la réalisation de l’objectif de réduction de la consommation de tabac à moins de 5 % de la population d’ici 2035, énoncé dans la Stratégie canadienne sur le tabac. Situation actuelle Le 1er mars 2020, l’âge minimum pour acheter du tabac (et des produits de vapotage à la nicotine) est passé à 21 ans. L’Île-du-Prince-Édouard est la seule province canadienne où l’âge minimum légal de vente est de 21 ans. Le programme universel de thérapie/médicaments de remplacement de la nicotine a été lancé en 2019 pour aider les personnes qui souhaitent arrêter de fumer. Le programme est proposé par l’intermédiaire des réseaux de soins primaires, et son taux de participation fera l’objet d’un suivi. Les centres de cancérologie offrent un soutien aux patients atteints de cancer, notamment par l’intermédiaire d’un counseling sur l’arrêt du tabagisme, de médicaments gratuits pour arrêter de fumer et d’un suivi. Le Modèle d’Ottawa pour l’abandon du tabac est mis en œuvre à l’échelle provinciale pour les patients hospitalisés, les secteurs des soins primaires et des maladies chroniques, ainsi que les services de santé mentale et de lutte contre les dépendances. Les vapoteuses ne sont vendues que dans des magasins spécialisés, et la vente de produits de vapotage aromatisés est interdite à l’Île-du-Prince-Édouard. Nouveaux efforts Renforcer les efforts éducatifs de prévention pour réduire l’utilisation des produits du tabac/de vapotage et soutenir la protection contre la dépendance à la nicotine en mettant l’accent sur les populations prioritaires (par exemple les jeunes, les Autochtones, les personnes appartenant aux communautés LGBTQ2S+). Faire respecter la conformité par les détaillants de produits du tabac et de vapotage (par exemple, empêcher la vente aux mineurs). Créer des environnements sans fumée et sans vapeur grâce à une politique/législation renforcée. Indicateur : Pourcentage de personnes classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes à l’Île-du-Prince-Édouard (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Promouvoir une alimentation saine et la prévention de l’obésité dans la province, en tirant parti des outils existants, notamment le Guide alimentaire canadien et les lignes directrices de pratique clinique d’Obésité Canada. Situation actuelle Le plan provincial de soins contre le cancer de l’Île-du-Prince-Édouard met l’accent sur la promotion d’une alimentation saine et d’une participation à un programme d’activité physique. Des programmes de santé publique et de nutrition familiale sont en place. Grâce à Go PEI!, sept régions offrent des programmes de promotion d’une vie saine. L’Île-du-Prince-Édouard interdit actuellement la vente d’aliments hautement transformés dans les écoles et utilise le cadre « aliments à servir le moins souvent, aliments à servir parfois, aliments à servir le plus souvent ». Le Programme d’alimentation scolaire est accessible à tous les élèves, sur la base du « payez ce que vous pouvez » pour les familles. Des travaux sont en cours pour établir un organisme à but non lucratif qui prendra en charge la gestion du programme d’alimentation scolaire et pour mettre à jour la politique sur l’alimentation scolaire. Nouveaux efforts Une analyse des environnements alimentaires dans les installations de loisirs est en cours comme première étape pour étayer le changement dans ces milieux. L’Île-du-Prince-Édouard collabore avec des partenaires de partout au pays pour élaborer d’autres lignes directrices sur l’alimentation saine à l’intention des établissements d’enseignement et des établissements de soins de longue durée. Indicateur : Pourcentage de personnes classées comme en surpoids ou obèses Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Saskatchewan (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarques : Cet indicateur a été déclaré à l’aide de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC). Les taux globaux de tabagisme sont déclarés à partir des données de 2020. Les personnes qui n’ont pas répondu aux questions obligatoires de l’ESCC concernant le tabagisme n’ont pas été incluses dans l’analyse. La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Aucun objectif provincial n’a été fixé. L’objectif énoncé dans la Stratégie canadienne sur le tabac est une réduction de la consommation de tabac à moins de 5 % de la population d’ici 2035. Situation actuelle La Northern Tobacco Strategy (stratégie sur le tabac pour le Nord) du Northern Healthy Communities Partnership rassemble un réseau d’organisations qui s’efforcent d’améliorer la santé des habitants du nord de la Saskatchewan en créant des milieux résistants au tabac commercial à l’aide de campagnes d’information et de sensibilisation dans les écoles et dans les milieux communautaires. L’initiative Northern Saskatchewan Breathe Easy de la Northern Inter-Tribal Health Authority contribue à réduire le tabagisme commercial. Le Saskatchewan Prevention Institute informe sur les risques de la fumée secondaire et du tabagisme pendant la grossesse. Les pharmaciens communautaires peuvent prescrire des aides à l’abandon du tabagisme. Les personnes atteintes de cancer peuvent être aiguillées vers un pharmacien communautaire ou une ligne d’aide à l’abandon du tabagisme. Les produits de remplacement de la nicotine (par exemple les gommes à la nicotine, les timbres) sont offerts gratuitement aux patients atteints de cancer. LungSask diffuse des messages d’information et de sensibilisation, pour divers publics, concernant la santé pulmonaire et le tabac commercial, en plus d’animer des groupes d’aide à l’abandon du tabagisme. La ligne d’aide à l’abandon du tabagisme Parlez tabac de la Société canadienne du cancer offre un soutien particulier aux Premières Nations et aux Métis, qui vient s’ajouter aux autres services offerts par cet organisme pour arrêter de fumer, comme la Téléassistance pour fumeurs, et à ses campagnes d’information et de sensibilisation. Les patients atteints de cancer se voient proposer du counseling virtuel en abandon du tabagisme pendant la pandémie. Nouveaux efforts La Saskatchewan Cancer Agency se concentre actuellement sur l’élaboration d’un programme provincial de dépistage du cancer du poumon. Tout au long de l’élaboration de ce programme, une composante sera axée sur l’augmentation de la sensibilisation de la communauté et le renforcement des efforts actuels liés à l’abandon du tabagisme dans la province. Indicateur : Pourcentage de personnes classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Saskatchewan (de 18 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarques : Cet indicateur a été déclaré à l’aide de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) et est basé sur des données autodéclarées. Les pourcentages globaux d’obésité et de surpoids sont déclarés en utilisant les données de 2019. Les pourcentages par quintile de revenu ou par sexe sont déclarés en utilisant les données de 2017-2018. Les personnes qui n’ont pas répondu aux questions obligatoires de l’ESCC pour obtenir les catégories d’IMC n’ont pas été incluses dans l’analyse. La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Aucun objectif provincial n’a été fixé. L’objectif national est le suivant : améliorer la santé et le bien-être de la population en favorisant un poids sain et en réduisant l’obésité. Situation actuelle Des choix alimentaires sains doivent être offerts dans les écoles et les foyers de groupe de la Saskatchewan. Il existe des politiques visant à soutenir la commercialisation des fruits et légumes locaux. La Saskatchewan dispose d’une gamme d’initiatives et de politiques visant à encourager l’activité physique. Les équipes du Northern Healthy Communities Partnership (NHCP) chargées de l’alimentation saine et des collectivités actives collaborent avec les collectivités nordiques pour promouvoir l’activité physique et des environnements alimentaires sains. Indicateur : Pourcentage de personnes classées comme en surpoids ou obèses, par quintile de revenu et par sexe Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Action cancer Manitoba (ACM) : Relancer les efforts en matière de prévention du cancer et augmenter le nombre de non-fumeurs au Manitoba. Les programmes d’ACM seront axés sur la sensibilisation du public et la compréhension des facteurs de risque modifiables de cancer. Province du Manitoba : Empêcher les jeunes de commencer à consommer des produits du tabac, protéger les Manitobains de la fumée secondaire, soutenir les personnes qui veulent arrêter de fumer, et dénormaliser les produits du tabac et leur utilisation afin d’évoluer vers une province exempte de maladies pulmonaires causées par le tabagisme primaire ou secondaire. Situation actuelle Action cancer Manitoba (ACM) : Le Quit Smoking Program (QSP) (programme d’abandon du tabagisme) est offert à ACM depuis janvier 2012. Il fournit un soutien personnalisé à l’abandon du tabagisme aux patients, au personnel et aux membres de la famille des patients et du personnel. Le programme est gratuit et propose des séances de counseling individuel, une évaluation, un soutien continu et des activités de prévention des rechutes, de l’information, et un accès à des aides antitabagiques telles que la thérapie de remplacement de la nicotine et des médicaments pour arrêter de fumer, aussi longtemps que nécessaire. Tout le personnel du QSP suit une formation en savoir-faire culturel et respecte le rôle du tabac sacré. Pour renforcer notre programme, nous avons effectué un travail de sensibilisation au Kivalliq Inuit Center (un service de logement pour les Inuits qui se sont rendus à Winnipeg pour un traitement contre le cancer). Des analyses récentes ont montré que la participation au QSP après un diagnostic de cancer au Manitoba était associée à des avantages en matière de survie et à une réduction des coûts de santé globaux. Dans l’ensemble, le programme d’abandon du tabagisme d’ACM contribue à la réduction globale des taux de tabagisme au Manitoba. Province du Manitoba : Les taux de tabagisme au Manitoba sont conformes à la moyenne nationale. Si nous avons observé une baisse des taux de tabagisme pendant la pandémie, nous soupçonnons qu’elle était en grande partie liée au taux de réponse inférieur pendant cette période. Nous prévoyons que les taux de 2022 correspondront à ceux enregistrés avant la pandémie. Le pourcentage de fumeurs était généralement plus élevé chez les personnes à faible revenu que chez celles dont le revenu était élevé. Veuillez consulter les données supplémentaires. Chez les hommes comme chez les femmes, on a observé, pour les taux de tabagisme, un gradient associé au niveau de scolarité. Par exemple, le taux de tabagisme était le plus élevé chez les personnes ayant un niveau de scolarité inférieur à l’école secondaire et diminuait chez les personnes ayant un niveau de scolarité plus élevé. Veuillez consulter les données supplémentaires. Chez les hommes comme chez les femmes, les plus forts taux de tabagisme ont été observés dans le quintile de revenu le plus bas. Veuillez consulter les données supplémentaires. Une aide individuelle ou collective à l’abandon du tabagisme est disponible dans les offices régionaux de la santé du Nord et de Prairie Mountain (le programme de lutte contre la dépendance au tabac à Brandon). L’Office régional de la santé de Winnipeg offre un cours gratuit sur les techniques pour arrêter de fumer intitulé « Cesser de fumer » (ouvert à tous) et un programme de réadaptation pulmonaire, qui offre aux personnes atteintes de maladies pulmonaires un soutien gratuit à l’abandon du tabagisme. Le programme des services de santé non assurés (SSNA) du Manitoba offre aux clients admissibles des Premières Nations et des Inuits des produits gratuits pour l’abandon du tabagisme. La Manitoba Tobacco Reduction Alliance (MANTRA) et la Manitoba Lung Association coordonnent des activités de réduction du tabagisme au Manitoba. Our Own Health Centre offre à la communauté 2SLGBTQ+ du counseling collectif et individuel en abandon du tabagisme. Parlez tabac est un programme gratuit de soutien à l’abandon du tabagisme destiné aux Premières Nations, aux Inuits, aux Métis et aux populations autochtones urbaines. Bien qu’il s’agisse d’un programme pancanadien, un coordinateur du Manitoba fait partie de l’équipe centrale. Le Programme de cartes et de counseling pour l’abandon du tabagisme est géré par Soins Communs et offre une thérapie de remplacement de la nicotine (TRN) aux Manitobains à faible revenu qui n’ont pas d’autre option pour couvrir la TRN, et des séances de counseling pour les aider à arrêter de fumer. Une aide pour couvrir le coût de la TRN pouvant aller jusqu’à 300 $ est offerte aux participants par le biais des soins primaires. Quit Smoking with your Manitoba Pharmacist Social Impact Bond (obligation à impact social « Arrêtez de fumer avec l’aide de votre pharmacien du Manitoba ») est un programme de trois ans qui offre aux Manitobains une aide pour arrêter de fumer par le biais de leur pharmacie locale, avec des séances de counseling et une subvention de 100 $ pour couvrir le coût de produits pour l’abandon du tabagisme. Nouveaux efforts ACM : Afin de maintenir une sensibilisation continue au programme d’abandon du tabagisme d’ACM, des ressources sont mises à disposition dans toutes les salles d’attente d’ACM (télévision, affiches, brochures, cartes professionnelles), par l’intermédiaire du programme d’oncologie communautaire d’ACM ou par le biais d’un numéro sans frais afin d’assurer un accès égal dans toute la province. La phase préalable à la mise en œuvre d’un programme de dépistage du cancer du poumon est en cours afin de soutenir les services de counseling en abandon du tabagisme et la tomodensitométrie à faible dose pour la population admissible. Cela comprend des efforts visant à créer des possibilités d’apprentissage pour le personnel en lien avec la formation d’éducateur certifié dans le domaine de l’abandon du tabagisme. ACM surveille de nombreux indicateurs liés au cancer par l’intermédiaire de ses rapports sur le rendement du système. Ces derniers fournissent des tendances au fil du temps pour divers facteurs de risque de cancer (y compris le tabagisme) et servent de base aux messages publics d’ACM. Indicateur : Pourcentage de personnes classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes (de 12 ans et plus) classées comme en surpoids ou obèses Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Action cancer Manitoba (ACM) : Sensibiliser le public au fait que le surpoids, l’absence d’accès à des aliments sains et un mode de vie sédentaire sont des facteurs de risque de cancer. Les futurs programmes cibleront également les populations du Manitoba exposées à un risque élevé qui connaissent des taux plus élevés d’obésité. Situation actuelle Province du Manitoba : Le service téléphonique Dial-a-Dietitian est un service à l’échelle du Manitoba qui met les personnes en contact avec un diététiste. Ce service est disponible en français, en anglais et dans de nombreuses autres langues (par l’intermédiaire d’interprètes au téléphone). Le Metabolic and Bariatric Surgery Program (programme de chirurgie métabolique et bariatrique) de l’Office régional de la santé de Winnipeg a été créé en 2012 et est accessible sur demande aux Manitobains admissibles dont l’indice de masse corporelle se situe entre 40 et 55, ou entre 35 et 40 s’ils ont des problèmes de santé préexistants. Le Wellness Institute (Seven Oaks Hospital) de Winnipeg offre une « clinique de perte de poids » en personne gérée par une équipe de professionnels, et un programme en ligne « Weight Loss for Health » (perdez du poids pour votre santé), plus récent. Nouveaux efforts ACM : ACM surveille de nombreux indicateurs liés au cancer par l’intermédiaire de ses rapports sur le rendement du système. Ces derniers fournissent des tendances au fil du temps pour divers facteurs de risque de cancer (y compris l’obésité) et servent de base aux messages publics d’ACM. Le service de prévention et de dépistage d’ACM travaille à l’élaboration d’une campagne de sensibilisation du public aux facteurs de risque modifiables de cancer. La campagne comprend le message principal « Maintenez un poids santé » pour traiter du rôle de l’obésité dans le cancer. La campagne et les matériels pédagogiques connexes sont offerts en anglais et en français. ACM organise des webinaires sur les facteurs de risque modifiables de cancer, notamment le surpoids et la sédentarité. Indicateur : Pourcentage de personnes classées comme en surpoids ou obèses Faire en sorte que les gens ne recommencent pas à fumer Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Travailler à l’atteinte de l’objectif de réduction de la consommation de tabac à moins de 5 % de la population d’ici 2035, énoncé dans la Stratégie canadienne sur le tabac. Continuer à réduire la proportion de Britanno-Colombiens qui fument. Augmenter le nombre de Britanno-Colombiens participant à des programmes d’abandon du tabagisme. Situation actuelle En 2020, les six centres de cancérologie de la Colombie-Britannique ont offert aux patients externes un soutien à l’abandon du tabagisme, y compris des mesures de soutien adaptées sur le plan culturel pour les patients atteints de cancer membres des Premières Nations, inuits et métis. Environ 11 % des Britanno-Colombiens âgés de 12 ans et plus déclarent fumer quotidiennement ou occasionnellement. La prévalence de la consommation de tabac en Colombie-Britannique est inférieure à la moyenne nationale. Le gouvernement de la Colombie-Britannique dispose d’un programme d’abandon du tabagisme afin d’aider les résidents désirant arrêter de fumer. Nouveaux efforts Le programme d’abandon du tabagisme de BC Cancer offre le soutien suivant aux patients externes atteints de cancer : Les patients sont soumis à un dépistage du tabagisme sur les formulaires d’admission. Le personnel infirmier assure le suivi des patients qui fument, les informe des avantages d’arrêter, et les dirige vers la ligne d’aide provinciale, QuitNow, pour obtenir des services appropriés. Une thérapie de remplacement de la nicotine (TRN) gratuite est offerte à tous les résidents, et des médicaments sur ordonnance subventionnés pour abandonner le tabagisme sont proposés aux résidents admissibles. Indicateur : Pourcentage de personnes (de 12 ans et plus) classées comme fumeurs quotidiens ou occasionnels Maintenir un poids sain Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes en Colombie-Britannique (de 18 ans et plus) atteintes d’obésité ou de surpoids Source des données : Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes Remarque : La pandémie de COVID-19 a eu des répercussions importantes sur les activités de collecte de données et les taux de réponse à cette enquête. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Réduire le risque de cancer en créant des environnements propices à une saine alimentation et à l’activité physique/à une vie active. Créer des conditions sociales et environnementales qui améliorent la santé et le bien-être de tous les enfants et les jeunes, tout en réduisant les vulnérabilités, les risques et les disparités en matière de santé. Soutenir les comportements sains en élargissant les connaissances sur les choix sains et en créant des environnements favorables à l’activité physique, à une saine alimentation et à une bonne santé mentale. Un poids sain est un poids qui favorise la santé, le bien-être et la qualité de vie de manière globale. Il est différent pour chaque personne. Le poids n’est pas simplement le résultat de ce que l’on mange ou du niveau d’activité physique. La génétique, l’état de santé, le stress, la qualité du sommeil et d’autres facteurs peuvent également l’influencer. Situation actuelle La Colombie-Britannique affiche généralement des taux inférieurs de personnes déclarant être atteintes de surpoids ou d’obésité par rapport à la moyenne canadienne. Child Health BC, le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique et la Canadian Obesity Foundation (Fondation canadienne de l’obésité) ont élaboré le British Columbia’s Continuum for the Prevention, Management, and Treatment of Health Issues Related to Overweight and Obesity in Children and Youth (continuum de la Colombie-Britannique pour la prévention, la prise en charge et le traitement des problèmes de santé liés au surpoids et à l’obésité chez les enfants et les jeunes). Le site Web HealthLinkBC du gouvernement de la Colombie-Britannique aide les Britanno-Colombiens à trouver les ressources dont ils ont besoin pour manger sainement, rester physiquement actifs et maintenir un poids sain. Nouveaux efforts En Colombie-Britannique, de multiples efforts sont en cours pour créer des environnements favorables qui améliorent l’accès à l’activité physique et à une saine alimentation là où les enfants vivent, apprennent et jouent. Indicateur : Pourcentage de personnes en Colombie-Britannique (de 18 ans et plus) atteintes d’obésité ou de surpoids Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Chaque province et chaque territoire a fourni son propre contenu et mesure cet indicateur différemment. En raison de ces différences, les données ne peuvent être comparées entre les territoires de compétence. Veuillez consulter les spécifications techniques pour plus de détails. De plus, des références pour l’information à l’échelle du Canada sont également disponibles. Pourquoi nous nous concentrons sur la vaccination contre les VPH Chaque année, au Canada, 1 300 personnes reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus; plus de 400 meurent de cette maladie1. La plupart des cancers du col de l’utérus sont causés par les virus du papillome humain (VPH). Les vaccins contre les VPH peuvent prévenir plus de 90 % des cas de cancer du col de l’utérus, ainsi que certains types de VPH à haut risque qui peuvent entraîner des cancers du pénis et de la tête et du cou1,2. Le cancer du col de l’utérus est plus fréquent chez les personnes vivant dans des régions rurales ou éloignées, les personnes à faible revenu et les Premières Nations, les Inuits et les Métis1. Les Premières Nations, les Inuits et les Métis3-5 peuvent rencontrer de nombreux obstacles à la vaccination contre les VPH, notamment une méfiance historique à l’égard du système de soins de santé, des expériences antérieures négatives relativement aux soins de santé, le manque de ressources et de services là où ils vivent, et les sensibilités de la communauté concernant la promotion de la santé sexuelle. Au Canada, les enfants sont vaccinés contre les VPH dans le cadre de programmes scolaires. Les taux de vaccination varient d’un territoire de compétence à l’autre. L’Organisation mondiale de la Santé a appelé à l’élimination du cancer du col de l’utérus dans le monde entier au cours de ce siècle. Le plan d’action du Canada vise à en faire une réalité d’ici 2040. La pandémie de COVID-19 a entraîné des perturbations dans les programmes de vaccination en milieu scolaire dans la plupart des territoires de compétence; un effort de rattrapage coordonné sera nécessaire dans les années à venir pour atteindre les enfants qui n’ont pas été vaccinés. Ces approches de rattrapage varient selon les territoires de compétence. Ce que nous voulons réaliser Au moins 90 % des jeunes de 17 ans au Canada vaccinés d’ici 20251 Stratégies visant à augmenter la participation à la vaccination contre les VPH pour tous les jeunes, intégrées dans les programmes scolaires et d’autres programmes financés par des fonds publics Soutien aux partenaires et organismes des Premières Nations, des Inuits et des Métis pour s’assurer que les stratégies visant à accroître la vaccination contre les VPH sont sécurisantes sur le plan culturel Ce que cela signifierait pour les personnes vivant au Canada Le fait de faire passer le taux de vaccination de 67 % à 90 % chez les enfants pourrait : prévenir l’apparition d’un cancer du col de l’utérus chez 1 400 personnes ayant un col de l’utérus6; éviter 300 décès attribuables au cancer du col de l’utérus au total d’ici 20506. La vaccination contre les VPH, associée à des programmes de dépistage fondés sur le test de détection des VPH et à un meilleur accès à un suivi et à un traitement en temps voulu, contribuerait à éliminer le cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH Chaque province et chaque territoire a fourni son propre contenu et mesure cet indicateur différemment. En raison de ces différences, les données ne peuvent être comparées entre les territoires de compétence. Veuillez consulter les spécifications techniques pour plus de détails. De plus, des références pour l’information à l’échelle du Canada sont également disponibles. Pourquoi nous nous concentrons sur le dépistage par test de détection des VPH Le cancer du col de l’utérus peut être prévenu et traité lorsqu’il est détecté à un stade précoce. Pourtant, chaque année, au Canada, 1 300 personnes reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus et plus de 400 meurent de cette maladie1. Le cancer du col de l’utérus est plus fréquent chez les personnes vivant dans des régions rurales ou éloignées, les personnes à faible revenu et les Premières Nations, les Inuits et les Métis1. La plupart des cancers du col de l’utérus sont causés par les virus du papillome humain (VPH). Le test Pap permet de détecter les altérations du col de l’utérus qui peuvent résulter d’une infection par les VPH, mais il ne permet pas de détecter spécifiquement les VPH. Le test de détection des VPH comme méthode de dépistage primaire est préférable car il recherche la présence de types de VPH à haut risque dans les cellules du col de l’utérus, ce qui peut être détecté avant même les altérations cellulaires qui peuvent être mises en évidence par un test Pap. Actuellement, le dépistage du cancer du col de l’utérus consiste en un test Pap tous les deux ou trois ans. Le remplacement par un test de détection des VPH oncogènes permettra de moderniser le dépistage du cancer du col de l’utérus et profitera aux personnes et au système de soins contre le cancer. Le dépistage par test de détection des VPH ne doit être effectué qu’une fois tous les cinq ans, est plus rentable et prévient davantage de cancers que le dépistage par test Pap. Le dépistage par test de détection des VPH offre également la possibilité d’un autoprélèvement, dans le cadre duquel une personne prélève son propre échantillon dans son vagin à l’aide d’un écouvillon provenant d’une trousse de dépistage. Cela peut se faire à domicile ou dans une clinique. L’autoprélèvement favorise un accès équitable au dépistage pour les personnes qui n’ont pas facilement accès aux fournisseurs de soins de santé, et permet aux gens de faire le test d’une manière qui répond à leur besoin d’intimité, de confort et de confidentialité. L’Organisation mondiale de la Santé a appelé à l’élimination du cancer du col de l’utérus dans le monde entier au cours de ce siècle. Le nouveau plan d’action du Canada vise à en faire une réalité d’ici 2040. Ce que nous voulons réaliser Au moins 90 % des personnes admissibles se soumettent régulièrement à un test de détection des VPH d’ici 2030. Pas moins de 80 % des personnes admissibles appartenant à tout groupe identifiable sont à jour quant au dépistage du cancer du col de l’utérus. Les tests Pap sont remplacés par le test de détection des VPH et l’autoprélèvement dans le cadre de programmes de dépistage organisés dans tout le pays, et des programmes de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus sont créés là où ils n’existent pas encore. Des stratégies visant à accroître la participation au dépistage chez les Premières Nations, les Inuits et les Métis sont conçues et mises en œuvre avec des partenaires et des organismes des Premières Nations, des Inuits et des Métis afin de s’assurer qu’elles sont sécurisantes sur le plan culturel. Ce que cela signifierait pour les personnes vivant au Canada Le passage au test de détection des VPH comme méthode de dépistage primaire pourrait : prévenir l’apparition d’un cancer du col de l’utérus chez plus de 3 000 femmes6; éviter 1 000 décès attribuables au cancer du col de l’utérus au total d’ici 20506. Le dépistage serait moins fréquent, ce qui pourrait entraîner une diminution du nombre d’examens de dépistage du cancer du col de l’utérus s’élevant à 27 millions d’examens (soit une baisse de 25 %) d’ici 2050 et des économies importantes pour le système de soins de santé. La vaccination contre les VPH, associée à des programmes de dépistage par test de détection des VPH ainsi qu’à un meilleur accès à un suivi et à un traitement en temps voulu, contribuerait à éliminer le cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Augmenter les tests génétiques Chaque province et chaque territoire a fourni son propre contenu et mesure cet indicateur différemment. En raison de ces différences, les données ne peuvent être comparées entre les territoires de compétence. Veuillez consulter les spécifications techniques pour plus de détails. De plus, des références pour l’information à l’échelle du Canada sont également disponibles. Pourquoi nous nous concentrons sur les tests génétiques pour le cancer du sein, de l’ovaire et du côlon Le dépistage génétique est un moyen de repérer les personnes qui ont hérité d’un risque plus élevé de cancer du sein, de l’ovaire ou du côlon. Un test sanguin permet de déterminer si une personne est porteuse des gènes mutés qui peuvent provoquer ces cancers. Les tests génétiques peuvent aider les personnes à prendre des mesures pour réduire leur risque de contracter un cancer. Par exemple, le fait de savoir qu’une personne est génétiquement exposée au risque de contracter un certain cancer peut l’amener à se soumettre au dépistage plus souvent ou à subir une intervention chirurgicale préventive. Les approches thérapeutiques peuvent être différentes pour une personne atteinte d’un cancer héréditaire. Au Canada, les tests génétiques sont utilisés pour des groupes spécifiques de personnes présentant un risque élevé : Les personnes ayant des antécédents familiaux de cancer du sein et de l’ovaire peuvent faire l’objet d’un dépistage des gènes BRCA-1 ou BRCA-2. Les personnes ayant des antécédents familiaux de cancer du côlon peuvent faire l’objet d’un dépistage du syndrome de Lynch. Les personnes atteintes du syndrome de Lynch sont plus susceptibles de contracter un cancer colorectal et d’autres cancers, et ce, à un plus jeune âge (avant 50 ans). La disponibilité des consultations et des dépistages génétiques n’est pas uniforme dans tout le pays et dépend de la province ou du territoire de résidence. L’accès est également plus limité pour les personnes vivant dans les zones rurales et éloignées. Ce que nous voulons réaliser Disponibilité accrue des tests génétiques pour ceux qui devraient en bénéficier. Dépistage des gènes BRCA et consultation génétique systématiquement proposée aux personnes ayant des antécédents familiaux de cancer du sein et de l’ovaire. Sensibilisation accrue au risque et aux options disponibles parmi les familles présentant un risque génétique de cancer. Les équipes de soins de santé ont accès aux renseignements génétiques d’un patient pour fournir des soins adaptés et efficaces contre le cancer. Des mesures de soutien sont disponibles pour les patients et les fournisseurs de soins primaires afin de les aider à avoir une meilleure compréhension et à prendre des décisions sur la base des résultats des tests. Ce que cela signifierait pour les personnes vivant au Canada Les membres de la famille prendraient conscience de leur propre risque et de la nécessité d’un dépistage génétique. Les personnes présentant un risque élevé de cancer du sein ou de l’ovaire pourraient être repérées plus tôt et suivies pour détecter les premiers signes de la maladie, ce qui augmenterait les chances d’obtenir de meilleurs résultats. Les personnes atteintes du syndrome de Lynch pourraient être repérées plus tôt et suivies pour détecter les premiers signes du cancer du côlon. Si elles contractaient un cancer, les traitements seraient adaptés, le cas échéant, sur la base de leurs renseignements génétiques, ce qui augmenterait les chances d’obtenir de meilleurs résultats. Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage d’élèves de 6e année ayant reçu deux doses de vaccin contre les VPH, par sexe Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif La Colombie-Britannique s’est engagée à atteindre l’objectif du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus du Canada d’ici 2040. Ce plan d’action comporte trois objectifs : améliorer les taux de vaccination contre les VPH, mettre en œuvre le test de détection des VPH comme méthode de dépistage primaire et améliorer le suivi des résultats de dépistage anormaux. Situation actuelle Depuis 2018, autant les garçons que les filles sont admissibles à la vaccination contre les VPH, et celle-ci est offerte aux élèves dans le cadre de la vaccination systématique en 6e année. Nouveaux efforts BC Cancer a mis à l’essai le test de détection des VPH à domicile et mettra bientôt en œuvre cet examen comme outil de dépistage primaire du cancer du col de l’utérus en Colombie-Britannique. Indicateur : Pourcentage d’élèves de 6e année ayant reçu deux doses de vaccin contre les VPH, par sexe Augmenter les tests génétiques Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de patients ayant reçu un diagnostic de cancer du sein, de cancer colorectal ou de cancer de l’ovaire qui ont été aiguillés pour subir un test génétique et qui en ont reçu les résultats dans les six mois suivant le diagnostic Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarques : Les temps d’attente sont ceux des patients ayant reçu un diagnostic et ayant été aiguillés pour subir un test. Les patients qui ont reçu un diagnostic mais qui n’ont pas été aiguillés pour subir un test ne sont pas pris en compte dans ces statistiques. Il est possible que la pandémie de COVID-19 ait eu une incidence sur la prestation de services. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Toutes les personnes atteintes d’un cancer qui souhaitent se soumettre à des tests génétiques obtiennent des résultats en moins de six mois. Les personnes qui ont besoin de renseignements pour un traitement reçoivent leurs résultats en moins d’un mois. Situation actuelle Une consultation en génétique est proposée aux personnes de la Colombie-Britannique ayant des antécédents familiaux de cancer du sein, de cancer de l’ovaire ou de cancer colorectal. Il y a actuellement une liste d’attente de deux à trois ans pour les services non urgents de consultation et de dépistage génétique pour les cancers héréditaires en Colombie-Britannique, en raison d’une demande accrue et d’une pénurie de ressources. Nouveaux efforts Mise en œuvre de services innovants tels que la consultation en groupe, les tests génétiques standards et les portails pour les patients. Mise en œuvre d’un dépistage systématique du syndrome de Lynch par analyse tumorale. Mise en œuvre de tests génétiques sur le tissu tumoral au moment du diagnostic. Indicateur : Pourcentage de patients ayant reçu un diagnostic de cancer du sein, de cancer colorectal ou de cancer de l’ovaire qui ont été aiguillés pour subir un test génétique et qui en ont reçu les résultats dans les six mois suivant le diagnostic Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes ayant reçu la série complète de vaccins contre les VPH Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarques : On considérait que la série complète de vaccins contre les VPH correspondait à deux doses d’ici l’âge de 12 ans en 2019, mais la définition a été modifiée et est passée à deux doses d’ici l’âge de 13 ans en 2020. Il est possible que la pandémie de COVID-19 ait eu une incidence sur la prestation de services. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif 90 % des élèves recevront leurs vaccins de la 6e à la 9e année. L’Alberta travaille à la mise en œuvre du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Situation actuelle La vaccination contre les VPH en milieu scolaire a commencé en 2008 pour les filles et en 2014 pour les garçons. La vaccination contre les VPH est proposée à tous les élèves en 6e année. Les personnes qui n’ont pas été vaccinées à l’école peuvent recevoir gratuitement une vaccination de « rattrapage » jusqu’à l’âge de 26 ans inclusivement. L’étude EHVINA (Enhancing HPV Vaccination in First Nations Populations in Alberta), dirigée par le Dr Greg Nelson de l’Université de Calgary, vise à augmenter le taux de vaccination contre les VPH chez les Premières Nations de l’Alberta. Nouveaux efforts Le programme de vaccination contre les VPH a été élargi en 2020 pour inclure toutes les personnes jusqu’à l’âge de 26 ans. L’Alberta continuera de collaborer avec des fournisseurs extérieurs au ministère de la Santé publique (comme les établissements d’enseignement postsecondaire et les cabinets médicaux) pour vacciner les personnes âgées de 18 à 26 ans. Indicateur : Pourcentage de personnes ayant reçu la série complète de vaccins contre les VPH Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH Où nous en sommes aujourd’hui Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarques : Il est possible que toutes les étapes ne s’appliquent pas à un territoire de compétence donné, car les parcours de mise en œuvre sont uniques à chacun. L’Alberta ne mène actuellement aucune activité liée au dépistage primaire par test de détection des VPH, et utilise uniquement la cytologie en milieu liquide et le test réflexe de détection des VPH pour dépister le cancer du col de l’utérus. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Élaborer et faire approuver une analyse de rentabilité concernant le dépistage primaire par test de détection des VPH en Alberta. Passer au dépistage primaire par test de détection des VPH à long terme. Situation actuelle L’Alberta n’offre actuellement pas le dépistage primaire par test de détection des VPH; le dépistage du cancer du col de l’utérus se fait à l’aide du test Pap et du test réflexe de détection des VPH. Nouveaux efforts Un groupe de travail sur le dépistage primaire par test de détection des VPH a été établi. Indicateur : Niveau de mise en œuvre propre à chaque territoire de compétence du dépistage primaire par test de détection des VPH chez les personnes admissibles Augmenter les tests génétiques Pourcentage de femmes en Alberta ayant reçu un diagnostic de cancer du sein ou de l’ovaire et qui ont subi un test génétique dans les neuf mois suivant le diagnostic Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarques : Il est possible que certaines patientes demandent à subir des tests génétiques privés pour orienter le traitement. Les données sur les tests génétiques privés ne sont pas disponibles. Il est possible que la pandémie de COVID-19 ait eu une incidence sur la prestation de services. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Veiller à ce que toutes les personnes atteintes d’un cancer qui sont admissibles se voient proposer un test génétique en temps voulu et soient soutenues dans leur prise de décision. Situation actuelle Ce service est proposé aux personnes admissibles à des tests génétiques pour le cancer de la prostate, de l’ovaire, du pancréas ou du sein. Le dépistage systématique du syndrome de Lynch par analyse tumorale a été mis en œuvre pour tous les cancers de l’endomètre et du côlon. L’Alberta Hereditary Cancer Provincial Guidance Committee (comité provincial d’orientation sur les cancers héréditaires de l’Alberta) a été créé en 2020 dans le but d’élargir les critères d’admissibilité aux tests génétiques et de les proposer à un plus grand nombre de personnes atteintes de cancer qui pourraient en tirer profit. Ce comité vise les quatre objectifs fondamentaux suivants : Élargir les critères d’admissibilité aux tests génétiques; Effectuer un dépistage systématique du syndrome de Lynch par analyse tumorale; Élargir et pérenniser le modèle d’intégration; Coordonner les tests génétiques sur les tumeurs pour aider à déterminer l’admissibilité à des traitements particuliers. Nouveaux efforts L’Alberta Hereditary Cancer Provincial Guidance Committee vise à étendre les tests génétiques et à soutenir la coordination du dépistage du syndrome de Lynch entre les services de pathologie, d’oncologie et de génétique. Indicateur : Pourcentage de patientes ayant reçu un diagnostic de cancer du sein ou de l’ovaire et qui ont subi un test génétique dans les neuf mois suivant le diagnostic Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage d’élèves de 7e année en Nouvelle-Écosse lors de l’année scolaire 2018-2019 qui ont reçu les deux doses du vaccin contre les VPH avant le 1er janvier 2020 Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarque : Le sexe de 26 élèves est inconnu. Ces élèves sont inclus dans les données globales, mais pas dans les données sur les garçons et sur les filles, ce qui entraîne un pourcentage légèrement inférieur dans la catégorie « Ensemble ». Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Taux cible de 90 % pour la vaccination contre les VPH en milieu scolaire. Situation actuelle La vaccination contre les VPH est proposée aux personnes de tous les sexes en 7e année. La vaccination contre les VPH en milieu scolaire a commencé en 2007 pour les filles et en 2015 pour les garçons. Les personnes qui n’ont pas été vaccinées à l’école peuvent recevoir gratuitement une vaccination de « rattrapage » jusqu’à l’âge de 18 ans. Des projets sont en cours pour réduire les obstacles à la vaccination contre les VPH dans les écoles et dans les collectivités. Des discussions sont en cours en vue de l’établissement du modèle « une fois couvert, toujours couvert » (once covered, always covered), qui permettrait aux personnes des communautés micmaques qui n’ont pas reçu le vaccin en milieu scolaire de se faire vacciner gratuitement contre les VPH à tout moment. Nouveaux efforts La Nouvelle-Écosse travaille à la mise en œuvre du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Indicateur : Pourcentage d’élèves de 7e année en Nouvelle-Écosse lors de l’année scolaire 2018-2019 qui ont reçu les deux doses du vaccin contre les VPH avant le 1er janvier 2020 Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH Où nous en sommes aujourd’hui Les données relatives à l’indicateur ne sont pas disponibles pour le moment. Notre objectif À venir. Situation actuelle La planification du déploiement à l’échelle provinciale du dépistage primaire par test de détection des VPH est en cours. Nouveaux efforts À venir. Indicateur : Niveau de mise en œuvre propre à chaque territoire de compétence du dépistage primaire par test de détection des VPH chez les personnes admissibles Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage d’élèves de 7e année ayant reçu la série complète du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2019-2020, par sexe Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Éliminer le cancer du col de l’utérus d’ici 2040. Situation actuelle Un programme de vaccination contre les VPH en milieu scolaire a débuté en 2008 pour les filles en 7e et 8e années, et s’est poursuivi pour les filles en 7e année. En 2017, le programme de vaccination contre les VPH a été étendu aux garçons en 7e année. Le Nouveau-Brunswick est aligné sur les objectifs de la Stratégie nationale d’immunisation et les cibles de réduction des maladies évitables par la vaccination d’ici 2025. Nouveaux efforts Le Nouveau-Brunswick travaille à la mise en œuvre du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Le Réseau du cancer du Nouveau-Brunswick a achevé ses recommandations relatives au début des travaux de mise en œuvre d’un programme de dépistage primaire du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH. Indicateur : Pourcentage d’élèves de 7e année ayant reçu la série complète du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2019-2020, par sexe Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH Où nous en sommes aujourd’hui Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Mettre en œuvre le dépistage primaire du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH, avec possibilité d’autoprélèvement des échantillons. Situation actuelle Actuellement, le test Pap est utilisé comme test de dépistage primaire au Nouveau-Brunswick. Malgré une baisse des taux de dépistage du cancer du col de l’utérus pendant la pandémie de COVID-19, les taux actuels reflètent ceux observés avant la pandémie, et des campagnes de sensibilisation et de communication sont en cours. Des invitations et des rappels normalisés sont envoyés aux prestataires de soins et aux personnes participantes par le programme de dépistage du cancer du col de l’utérus, et des campagnes de sensibilisation sont en cours. Des recommandations ont été élaborées pour appuyer la mise en œuvre du dépistage par test de détection des VPH sur la base d’analyses documentaires, d’analyses de l’environnement et d’analyses de données provinciales. Indicateur : Niveau de mise en œuvre propre à chaque territoire de compétence du dépistage primaire par test de détection des VPH chez les personnes admissibles Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage d’élèves de 6e année à Terre-Neuve-et-Labrador qui ont reçu la dernière dose du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2018-2019 Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Éliminer le cancer du col de l’utérus d’ici 2040. Situation actuelle La vaccination contre les VPH en milieu scolaire est proposée aux élèves de 6e année. Elle a commencé en 2007 pour les filles et en 2017 pour les garçons. Les femmes qui n’ont pas été vaccinées à l’école peuvent recevoir gratuitement une vaccination de « rattrapage » jusqu’à l’âge de 26 ans. Il n’existe actuellement aucun programme de rattrapage pour les hommes. Le taux de vaccination contre les VPH est très élevé à Terre-Neuve-et-Labrador. Cependant, il est difficile de repérer les personnes au sein du système scolaire qui n’ont pas reçu le vaccin. La province espère relier le registre des vaccins à la base de données provinciale sur le dépistage du cancer. Nouveaux efforts Terre-Neuve-et-Labrador travaille à la mise en œuvre du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Indicateur : Pourcentage d’élèves de 6e année à Terre-Neuve-et-Labrador qui ont reçu la dernière dose du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2018-2019 Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH Où nous en sommes aujourd’hui Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Prévoir de soumettre, d’ici à juin 2023, une analyse de rentabilité à l’équipe de direction des autorités sanitaires et au ministère de la Santé de Terre-Neuve-et-Labrador pour passer au test de détection des VPH comme méthode de dépistage primaire. Situation actuelle Terre-Neuve-et-Labrador utilise actuellement la cytologie en milieu liquide pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. Cependant, le test réflexe de détection des VPH est utilisé chez les femmes de plus de 30 ans qui obtiennent un résultat légèrement anormal au test Pap. Le test de détection des VPH est effectué en laboratoire sur l’échantillon déjà prélevé. Les femmes dont les résultats du test de détection des VPH sont négatifs retournent au dépistage systématique; les femmes dont les résultats du test de détection des VPH sont positifs sont aiguillées vers un gynécologue pour une évaluation plus approfondie. Le dépistage peut s’arrêter à 69 ans, si les femmes ont des antécédents de tests Pap réguliers et négatifs. Nouveaux efforts Les coordonnateurs régionaux du dépistage du cancer et le directeur médical du programme de dépistage du cancer du col de l’utérus mènent des activités éducatives auprès des fournisseurs de soins de santé primaires sur le test de détection des VPH comme méthode de dépistage primaire. Indicateur : Niveau de mise en œuvre propre à chaque territoire de compétence du dépistage primaire par test de détection des VPH chez les personnes admissibles Augmenter les tests génétiques Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de patients de moins de 40 ans à Terre-Neuve-et-Labrador qui ont reçu un diagnostic de cancer colorectal de 2017 à 2019 et qui ont subi un test génétique dans l’année suivant le diagnostic Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Veiller à ce que toutes les personnes atteintes d’un cancer qui sont admissibles se voient proposer un test génétique en temps voulu et soient soutenues dans leur prise de décisions. Situation actuelle Les personnes atteintes d’un cancer sont aiguillées vers des conseillers en génétique par leur oncologue ou leur médecin de famille en cas de présomption de cancer héréditaire. Les conseillers en génétique décident ensuite de la pertinence d’un test génétique. Nouveaux efforts En raison du manque de ressources, les conseillers en génétique ont adopté un format de groupe pour les séances d’information initiales. Cet environnement de groupe a stimulé la discussion et a permis d’accroître le soutien aux patients et la participation de ces derniers. Indicateur : Pourcentage de patients de moins de 40 ans qui ont reçu un diagnostic de cancer colorectal au cours de 2017 à 2019 et qui ont subi un test génétique dans l’année suivant le diagnostic Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage d’élèves de 12 ans complètement vaccinés* contre les VPH à l’Île-du-Prince-Édouard * Vaccination complète = trois doses pour les 12 ans et plus avant 2015. À partir de 2015, deux doses seulement = vaccination complète. Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarque : Il est possible que la pandémie de COVID-19 ait eu une incidence sur la prestation de services. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Atteindre un taux de participation à la vaccination contre les VPH de 90 % chez les adolescents. Réduire tous les états maladifs associés aux VPH. Situation actuelle La vaccination contre les VPH en milieu scolaire a commencé en 2007 pour les filles et en 2013 pour les garçons. Elle est offerte aux élèves de 6e année de l’île. La vaccination contre les VPH est offerte aux habitants de l’île par l’intermédiaire des Services infirmiers de santé publique de l’Île-du-Prince-Édouard. Tous les vaccins manqués peuvent être « rattrapés » auprès des Services infirmiers de santé publique. L’Île-du-Prince-Édouard a été la première province à vacciner les garçons contre les VPH en milieu scolaire, dès l’âge de 12 ans en 2013. L’adoption du vaccin contre les VPH a été excellente chez les garçons, 78 % de la première cohorte de garçons vaccinés dans la province étant désormais totalement protégés. Nouveaux efforts L’Île-du-Prince-Édouard travaille à la mise en œuvre du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. L’Île-du-Prince-Édouard prévoit de passer du dépistage par test Pap au dépistage par test de détection des VPH en 2023. Indicateur : Pourcentage d’élèves de 12 ans complètement vaccinés contre les VPH à l’Île-du-Prince-Édouard Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection des VPH Où nous en sommes aujourd’hui Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarques : L’Île-du-Prince-Édouard procède actuellement à la mise en œuvre partielle d’un programme pilote de dépistage primaire par test de détection des VPH, et à sa mise à l’essai dans certains centres ou pour certaines populations de la province. Il est possible que toutes les étapes ne s’appliquent pas à un territoire de compétence donné, car les parcours de mise en œuvre sont uniques à chacun. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif D’ici 2030 à l’Île-du-Prince-Édouard : Toutes les personnes admissibles auront accès à la vaccination contre les VPH sans obstacle; 90 % des personnes âgées de 17 ans seront complètement vaccinées contre les VPH; Toutes les personnes admissibles participeront au dépistage par test de détection des VPH (90 % des personnes seront à jour en matière de dépistage); Toutes les personnes admissibles auront accès à des soins de suivi coordonnés et de qualité élevée en ce qui concerne le dépistage du cancer du col de l’utérus (90 % des personnes auront accès à des services de colposcopie en temps voulu). Situation actuelle L’Île-du-Prince-Édouard mettra en œuvre le test de détection des VPH comme outil de dépistage primaire à l’échelle de la province en 2023. Un programme pilote de dépistage par test de détection des VPH débutera en avril 2023. Des travaux sont en cours afin de normaliser les parcours cliniques pour la détection précoce du cancer du col de l’utérus et de les soutenir, y compris le suivi des résultats anormaux de dépistage par test de détection des VPH et les services de colposcopie. La province continue d’offrir la vaccination contre les VPH en milieu scolaire à tous les élèves de 6e année et de surveiller le taux de participation. Nouveaux efforts L’Île-du-Prince-Édouard mettra à l’essai le dépistage par test de détection des VPH par autoprélèvement en 2023. La province s’est procuré l’équipement de laboratoire requis pour les tests de détection des VPH et la cytologie en milieu liquide. Santé Î.-P.-É. élabore des lignes directrices de pratique clinique et assure la formation des prestataires afin d’appuyer la mise en œuvre du test de détection des VPH comme outil de dépistage primaire du cancer du col de l’utérus. Indicateur : Niveau de mise en œuvre propre à chaque territoire de compétence du dépistage primaire par test de détection des VPH chez les personnes admissibles Augmenter les tests génétiques Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de patients de l’Île-du-Prince-Édouard atteints d’un cancer du sein, d’un cancer colorectal et d’un cancer de l’ovaire ayant subi des tests génétiques en 2019 Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarque : D’après les lignes directrices en matière de dépistage génétique, toutes les femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire sont admissibles aux tests génétiques, alors que seulement un sous-groupe de femmes atteintes d’un cancer du sein et une sous-catégorie de personnes atteintes d’un cancer colorectal le sont. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif S’assurer que les personnes atteintes d’un cancer du sein, de l’ovaire ou colorectal qui sont admissibles aux tests génétiques font l’objet d’un dépistage pour d’autres cancers, et que les membres de leur famille sont informés qu’ils encourent potentiellement un risque de cancer plus élevé. Informer les personnes atteintes de cancer afin de les aider à prendre une décision éclairée concernant le consentement pour les tests. Accroître l’accès aux tests génétiques pour toutes les personnes admissibles. Situation actuelle Les personnes atteintes de cancer, qui sont admissibles, se voient proposer par un spécialiste des tests génétiques visant à rechercher certains gènes. Tous les tests sont effectués par un service de génétique spécialisé à Halifax. Les échantillons nécessaires pour la réalisation des tests génétiques sont prélevés dans des laboratoires de l’Île-du-Prince-Édouard, et des rendez-vous virtuels avec la clinique régionale de counseling en génétique de la Nouvelle-Écosse sont ensuite organisés. Nouveaux efforts Des efforts sont en cours pour augmenter les aiguillages vers les services de génétique pour les personnes atteintes de cancer admissibles, en particulier pour celles atteintes d’un cancer de l’ovaire (toutes les personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire sont admissibles à des rendez-vous pour des tests génétiques). Les efforts se sont récemment concentrés sur les tests génétiques pour les personnes de moins de 40 ans atteintes d’un cancer du sein. Indicateur : Pourcentage de patients atteints d’un cancer du sein, d’un cancer colorectal et d’un cancer de l’ovaire ayant subi des tests génétiques en 2019 Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de filles de 6e année en Saskatchewan ayant reçu la dernière dose du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2017 Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarque : Les taux de vaccination contre les VPH des garçons de 6e année n’étaient pas disponibles. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Aucun objectif provincial n’a été fixé. Un objectif national est l’élimination du cancer du col de l’utérus d’ici 2040. Situation actuelle La vaccination contre les VPH en milieu scolaire a commencé en 2008 pour les filles et en 2017 pour les garçons. La vaccination contre les VPH est proposée aux personnes de tous les sexes en 6e année. Les personnes qui n’ont pas été vaccinées à l’école peuvent recevoir gratuitement un vaccin de « rattrapage » jusqu’à l’âge de 27 ans. Les médias sociaux sont mis à contribution pour lutter contre l’hésitation vaccinale. Nouveaux efforts La Saskatchewan travaille à la mise en œuvre du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Indicateur : Pourcentage de filles de 6e année en Saskatchewan ayant reçu la dernière dose du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2017 Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage d’élèves de 7e année en Ontario qui ont reçu la dose finale du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2017-2018, par sexe Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Éliminer le cancer du col de l’utérus en utilisant la vaccination contre les VPH comme mécanisme clé. Situation actuelle Le vaccin contre les VPH est proposé à tous les élèves en 7e année. Les jeunes peuvent recevoir leur deuxième vaccin contre les VPH jusqu’à la fin de la 12e année. Le vaccin est proposé aux personnes présentant un risque élevé de contracter une infection à VPH. Les programmes de vaccination en milieu scolaire ont été interrompus temporairement en raison de la COVID-19, mais ont depuis repris. Nouveaux efforts Des efforts sont en cours pour reprendre la vaccination et fournir des prolongations pour que les personnes puissent recevoir les doses manquantes. L’Ontario travaille à la mise en œuvre du Plan d’action pour l’élimination du cancer du col de l’utérus au Canada d’ici 2040. Indicateur : Pourcentage d’élèves de 7e année en Ontario qui ont reçu la dose finale du vaccin contre les VPH au cours de l’année scolaire 2017-2018, par sexe Mettre en œuvre le dépistage du cancer du col de l’utérus par test de détection du VPH Où nous en sommes aujourd’hui Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarque : Il est possible que toutes les étapes ne s’appliquent pas à un territoire de compétence donné, car les parcours de mise en œuvre sont uniques à chacun. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Réduire le risque que les Ontariennes aient un cancer du col de l’utérus ou en meurent grâce à la mise en œuvre du test de détection des VPH dans le cadre du dépistage du cancer du col de l’utérus et de la colposcopie liée au dépistage en Ontario. Situation actuelle L’Ontario a actuellement un programme de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus par cytologie qui se poursuivra jusqu’à la transition vers le test de détection des VPH. En parallèle, l’Ontario planifie la mise en œuvre du test de détection des VPH dans le cadre du dépistage et de la colposcopie (intervention de suivi pour l’évaluation, le traitement et la prise en charge en cas de résultat de dépistage anormal). Nouveaux efforts Les activités en cours comprennent : Élaboration de recommandations sur le dépistage du cancer du col de l’utérus et la colposcopie fondées sur des analyses documentaires, des analyses environnementales, des analyses de données ontariennes et les commentaires d’un groupe d’experts internationaux comprenant des représentants du public. Planification d’une stratégie de mobilisation des intervenants et de communication avec eux pour soutenir les prestataires de soins de santé et le public dans la transition Travail avec les programmes régionaux de lutte contre le cancer afin de soutenir la mise en œuvre régionale du test de détection des VPH Planification des changements à apporter aux processus et à l’infrastructure du programme pour soutenir la mise en œuvre du test de détection des VPH Indicateur : Niveau de mise en œuvre propre à chaque territoire de compétence du dépistage primaire par test de détection des VPH chez les personnes admissibles Augmenter les tests génétiques Où nous en sommes aujourd’hui Nombre de personnes âgées de 30 à 69 ans en Ontario ayant reçu un diagnostic de cancer du sein, pour 1 000 personnes ayant subi un test génétique avant le diagnostic du cancer, par groupe d’âge Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarque : Il est possible que la pandémie de COVID-19 ait eu une incidence sur la prestation de services. Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Situation actuelle Il est recommandé aux personnes de 30 à 69 ans considérées comme présentant un risque élevé de se soumettre à un dépistage une fois par an dans le cadre du Programme ontarien de dépistage du cancer du sein (PODCS) pour les personnes présentant un risque élevé. Les personnes peuvent être considérées comme présentant un risque élevé soit par entrée directe (sur la base des critères d’admissibilité du programme de dépistage), soit par évaluation génétique. Chez les personnes ayant subi un test génétique dans le cadre du PODCS pour les personnes présentant un risque élevé, le taux de cancer du sein était le plus élevé chez les personnes âgées de 30 à 39 ans et le plus faible chez celles de 60 à 69 ans. Chez les personnes ayant subi un test génétique dans le cadre du PODCS pour les personnes présentant un risque élevé, le taux de cancer du sein a augmenté en 2020 (18,9 pour 1 000) par rapport aux taux de 2018 (16,7 pour 1 000) et de 2019 (14,8 pour 1 000). Il est possible que la pandémie ait eu une incidence sur l’augmentation des taux de cancer du sein chez les personnes ayant subi un test génétique. Moins de personnes ont subi un test génétique en 2020 par rapport à 2019 (3 552 p/r à 4 190), et celles dont il a été confirmé qu’elles présentaient un risque élevé de cancer du sein ont subi un dépistage en priorité, conformément aux lignes directrices provinciales. Nouveaux efforts Une étude à grande échelle sera menée sur le dépistage du cancer du sein en fonction du risque individuel. Dans le cadre de travaux futurs, le PODCS pourrait utiliser ces renseignements pour appuyer l’évaluation de la faisabilité, de l’accessibilité et de l’adoption du dépistage génétique dans le cadre du PODCS pour les personnes présentant un risque élevé. Le dépistage génétique des cancers héréditaires peut fournir des informations importantes pour une évaluation précise du risque de cancer ainsi que pour le diagnostic, le traitement et la prévention du cancer. Le 1eravril 2021, Santé Ontario a annoncé la mise en œuvre du dépistage génétique provincial des cancers héréditaires pour les adultes, afin d’améliorer l’accès au dépistage génétique pour un certain nombre de sièges de la maladie. En s’appuyant sur l’expérience acquise en matière de tests et de services de génétique du cancer, Santé Ontario a mis en place un programme provincial de génétique afin d’assurer la prestation de services de génétique complets, coordonnés et fondés sur des données probantes dans toute la province. Le programme provincial de génétique englobera le dépistage génétique de toutes les maladies rares et héréditaires, y compris le cancer héréditaire, et des services de génétique clinique. Indicateur : Nombre de personnes âgées de 30 à 69 ans en Ontario ayant reçu un diagnostic de cancer du sein, pour 1 000 personnes ayant subi un test génétique avant le diagnostic du cancer, par groupe d’âge Augmenter la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de personnes qui ont reçu une ou deux doses (au moins) de vaccin contre les VPH d’ici l’âge de 17 ans dans le cadre du programme de vaccination en milieu scolaire du Manitoba, par sexe Données à venir. Notre objectif Le gouvernement du Canada s’est fixé comme objectif que d’ici 2025, 90 % des jeunes de 17 ans soient vaccinés contre les VPH. Action cancer Manitoba (ACM) s’est engagé à soutenir et à promouvoir la vaccination contre les VPH. Les objectifs à long terme sont les suivants : Augmenter le nombre de Manitobains qui sont vaccinés contre les VPH; Réduire le nombre total de cas de cancer du col de l’utérus; Détecter plus tôt les anomalies du col de l’utérus. Situation actuelle ACM : Le site Web d’ACM fournit un contenu éducatif sur le vaccin contre les VPH. Le matériel de la campagne de vaccination contre les VPH est disponible en anglais et en français. ACM et la Fondation Action cancer Manitoba mènent depuis trois ans une campagne de sensibilisation du public à la vaccination contre les VPH. Province du Manitoba : Le programme de vaccination contre les VPH a été mis en place pour les filles en 2008 et pour les garçons en 2016. La politique « une fois admissible, toujours admissible » du Manitoba permet aux jeunes qui n’ont pas été vaccinés en milieu scolaire de se faire vacciner. Nouveaux efforts ACM et la Fondation Action cancer Manitoba prêtent leur voix pour aider à résoudre le problème de santé publique plus large. En partenariat avec Santé Manitoba, divers programmes promotionnels relatifs à la vaccination contre les VPH sont en place. Les équipes d’ACM chargées de la prévention et du dépistage mettent actuellement en œuvre un projet visant à accroître les taux de vaccination contre les VPH grâce à l’envoi par courrier de rappels ciblant les personnes non vaccinées, mais admissibles. Les équipes d’ACM chargées de la prévention et du dépistage s’efforcent de favoriser la mobilisation des connaissances chez les prestataires de soins de santé du Manitoba par le biais de webinaires sur l’admissibilité au vaccin contre les VPH et le processus de vaccination. Indicateur : Pourcentage de personnes qui ont reçu une ou deux doses (au moins) de vaccin contre les VPH d’ici l’âge de 17 ans dans le cadre du programme de vaccination en milieu scolaire du Manitoba, par sexe Augmenter les tests génétiques Où nous en sommes aujourd’hui Pourcentage de patients atteints d’un cancer du sein/de l’ovaire ou du côlon qui étaient admissibles à des tests de dépistage de cancer héréditaire (panel de 10 ou de 12 gènes) et qui en ont subi, et pourcentage de patients atteints de cancer colorectal et ayant reçu un diagnostic dans les deux ans qui avaient subi un dépistage du syndrome de Lynch dans le tissu tumoral (recherche d’une mutation d’un gène MMR) Sélectionner le type de dépistage génétique : Sélectionner le type de dépistage génétique : data graph Dépistage génétique des cancers héréditairesDépistage du syndrome de Lynch Source des données : Organismes et programmes provinciaux de lutte contre le cancer Remarques : Il est possible que la pandémie de COVID-19 ait eu une incidence sur la prestation de services. L’admissibilité aux tests de dépistage de cancer héréditaire s’applique aux patients sans variant pathogène familial connu qui répondent aux critères de dépistage par analyse de ces panels de gènes. Les personnes qui ne répondent pas à ces critères d’admissibilité sont celles présentant des antécédents familiaux de mutation qui subiront des tests génétiques pour la mutation en question seulement ou celles qui ne répondent pas à l’ensemble des critères établis pour le panel de 10 ou de 12 gènes, mais qui pourraient subir des tests génétiques sur un autre panel de gènes (p. ex. les personnes répondant à des critères ethniques particuliers pour la recherche d’un variant courant dans une population donnée). Cliquez ici pour voir toutes les données et les limites des données, y compris les stratifications supplémentaires. Notre objectif Aligner le dépistage génétique du cancer au Manitoba sur les meilleures pratiques connues. Aligner les critères d’admissibilité au dépistage génétique des cancers héréditaires sur les occasions offertes. Rationaliser la communication entre les services cliniques et les services de diagnostic. Étendre les services de tests génétiques pour inclure des gènes cibles supplémentaires (fondés sur la recherche) qui prédisposent aux cancers du sein, de l’ovaire et du côlon. Étendre la disponibilité des tests génétiques aux personnes atteintes d’autres formes de cancer. Situation actuelle Au Manitoba, les tests génétiques pour les cancers héréditaires sont accessibles aux personnes ayant reçu un diagnostic de cancer et aux personnes ayant des antécédents familiaux importants de cancer. Dépistage génétique des cancers héréditaires : Réalisé par les services de diagnostic de Soins communs; cependant, certains panels de gènes qui ne peuvent être analysés sur place sont envoyés à l’hôpital Mount Sinai de Toronto. En 2020, les services de diagnostic ont mis à jour le panel de gènes des cancers héréditaires pour qu’il en contienne dix (au lieu de six) pour les cancers du sein et de l’ovaire. Dépistage génétique des tumeurs : Les Manitobains ayant reçu un diagnostic de cancer colorectal, de l’endomètre ou de l’ovaire seront soumis à un dépistage du syndrome de Lynch [avec recherche d’une mutation d’un gène MMR, p. ex. immunohistochimie (IHC) ou instabilité des microsatellites (MSI-High)] en fonction de leur âge et de leurs antécédents familiaux. Les résultats de ce dépistage permettent de stratifier le risque d’être atteint du syndrome de Lynch et de déterminer les personnes qui nécessiteront ultérieurement un test génétique de recherche de mutations héréditaires. Les résultats anormaux de dépistage du syndrome de Lynch sont automatiquement transmis à la Clinique des cancers héréditaires. Nouveaux efforts Le programme de dépistage du syndrome de Lynch a étendu ses critères de dépistage en 2016-2017 pour inclure tous les cancers de l’endomètre diagnostiqués chez des personnes de 60 ans ou moins. En partenariat avec Soins communs, un nouveau laboratoire de séquençage génomique a ouvert ses portes à Action cancer Manitoba en mars 2021 pour fournir des services améliorés et rationalisés relatifs aux tests de prédisposition aux cancers héréditaires et aux profils d’expression tumorale. Indicateurs : Pourcentage de patients atteints de cancer du sein ou de l’ovaire et du côlon qui étaient admissibles à des tests de dépistage de cancer héréditaire et qui en ont subi Pourcentage de patients atteints de cancer colorectal et ayant reçu un diagnostic dans les deux ans qui avaient subi un dépistage du syndrome de Lynch dans le tissu tumoral Nos priorités Priorité 1 Réduire le risque de cancer dans la population Priorité 2 Diagnostiquer le cancer plus rapidement, avec exactitude et à un stade plus précoce Priorité 3 Offrir des soins de grande qualité dans le cadre d’un système durable et de calibre mondial Priorité 4 Éliminer les obstacles qui empêchent les gens d’obtenir les soins dont ils ont besoin Priorité 5 Offrir de l’information et du soutien aux personnes atteintes de cancer, aux familles et aux aidants Priorité 6 Des soins adaptés à la culture dispensés plus près du domicile Priorité 7 Des soins contre le cancer propres aux peuples autochtones et déterminés par ces derniers Priorité 8 Des recherches et des systèmes de données régis par les Premières Nations, les Inuits ou les Métis